Le Thôt : historique

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La Décharge du THOT en Résumé :

C’est l’échec d’une gestion catastrophique des déchets et d’une politique environnementale irresponsable et désastreuse qui aura durée 43 ans.

Le faible coût d’exploitation de cette décharge aura primé sur l’intérêt général. Les divergences entre le Président du District et le Maire de Lattes de l’époque ne justifiaient pas une telle inertie.

Le constat :

Ce dossier est accablant pour les Collectivités locales qui avaient en charge la gestion de cette décharge.

Force est de constater l’immoralité des promesses non tenues et bafouées par ceux qui étaient censés répondre aux besoins de leurs concitoyens dans le cadre de l’intérêt général.

En Octobre 1965 la SAFER vend à l’Etat un terrain de 52 hectares. Celui-ci sera mis à la disposition de la ville de Montpellier. Il sera utilisé comme décharge sans aucune autorisation jusqu’à son ouverture officielle du 18.07.1967. Les recommandations techniques imposées par le professeur AVIAS ne seront pas respectées, à savoir les stations de pompage nécessaires afin d’éviter que le sol naturel de cette décharge ne soit noyé régulièrement. Il était aussi mentionné que la hauteur ne devait pas excéder 2,5 mètres . La fermeture des dépôts est constatée le 30.06.2006 et le 30.09.2008 pour la fin d’exploitation du site ( la hauteur de la décharge est alors de 31 mètres…) .

Depuis Mars 1977 à fin septembre 2008, c’était la Mairie de Montpellier, le District puis l’Agglomération d’avoir eu successivement la responsabilité de la gestion de cette décharge. Ce sera la même politique, avec à sa tête, la même personne, Georges FRECHE.

Jacky CHANTON

Lattes le 20 Octobre 2008

En 2014 ?

Rien n’est fait. Le Thôt dort.

En 2020 : nous dénonçons l’état d’abandon du site.

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Le Secrétaire

Jacky Chanton

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Ametyst : commentaire du rapport de la Cour des comptes

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AMETYST : L’ECHEC TECHNIQUE ET FINANCIER ETAIT PREVISIBLE ET ANNONCE

Vous êtes nombreux à poser ces questions :

Pourquoi l’Agglomération de Montpellier a-t-elle construit cette usine en ville ? Pour quelles raisons son coût est aussi élevé ? Pourquoi l’absence de subvention de l’Union Européenne? Pourquoi toutes ces anomalies ? Quelle est la compétence réelle de l’Agglomération en matière de gestion des déchets ? Pourquoi annonce-t-on une usine « ZERO DEFAUT » alors que le dossier est accablant pour les collectivités locales ? Quelle est la position du Maire de Lattes sur ce dossier ?… Le 6 octobre 2010, nous écrivions …/… Cliquez ce lien.

par Jacky Chanton (Lattes)

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Le Secrétaire

Jacky Chanton

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Incinération des déchets

En incinérant, on détruit des ressources qui auraient pu être re-traitées par ailleurs.

Une abomination.

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Incinérer : étymologiquement, dit le Président Robert Clavijo du Collectif Inter-Associatif des Déchets de l’Hérault (CID-34),  c’est réduire en cendres. Nous empruntons à Dany Dietmann, maire de Manspach et Député Européen, une très belle énumération de ce qui entre dans la gueule des fours d’incinération :

  • des papiers,
  • des plastiques divers,
  • des matières fermentescibles {dont des boues de station d’épuration},
  • du bois,
  • des médicaments et des déchets hospitaliers,
  • des boites de produits chimiques usagés,
  • des piles,
  • des ampoules,
  • des contenants de peintures, d’encres, de pesticides,
  • etc.

Autant de produits qui dégagent, lors de leur combustion, une variété extraordinaire de substances diverses qui se recombinent, synthétisant de nouvelles molécules.

Le CID34 précise même que l’incinération produit plus de déchets qu’elle n’est censée en éliminer (Manifeste contre les incinérateurs).

Les eaux de lavage des fumées, les cendres et mâchefers en constituent la partie la plus visible. Les accumulations de dioxines et de divers furanes aux alentours des incinérateurs, les études épidémiologiques des cancérogénèses ne laissent plus de doute là-dessus. Le groupe associatif « Les Médecins Indépendants pour l’Environnement et la Santé (AMIES) » se battent autour de l’incinérateur de Lunel-Viel, avec les écologues et les écologistes, contre le maintien en activité de cette Installation Classée. Sans succès, puisque le Préfet de l’Hérault, en personne, a passé outre à la décision du tribunal administratif en signant un arrêté de prolongation de l’activité. Nous posons la question : quelle a été la sanction de l’exploitant qui n’est pas aux normes ?

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Le Lanceur d’alerte

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Mottainai : le Japon trie

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Mottainai  est un terme japonais correspondant au malaise dû à un gaspillage matériel. Cette expression peut être utilisée par elle-même, pour souligner un tel gaspillage, ou pour désigner un propos ou un acte malvenu.

Au cours d’une session des Nations-Unies, l’environnementaliste kényanne Wangari Maathai introduisit le terme mottainai comme slogan pour la protection de l’ environnement. Elle arbora un T-shirt marqué avec le mot  « mottainai »et explica la signification du terme pour illustrer les quatre R de réduire, réutiliser, recycler et réparer. Elle avança que «  nous devons tous utiliser les ressources limitées effectivement et les partager gentiment si nous voulons éviter de voir des guerres éclater à cause de ressources naturelles [non renouvelables]. »  [ Maathai a travaillé pour populariser le concept de mottainai en dehors du Japon].

Les Japonais ont une longue tradition de l’économie des ressources finies (non-renouvelables) qui se perd dans leur histoire nationale. L’économie de matière était élevée au rang d’art. Il était impératif d’utiliser le moins de matière possible lors de la fabrication d’un objet. Cette forme de minimalisme est qualifiée aujourd’hui en occident de « zen ». Avant de se débarasser d’un objet cassé ou usé, simple feuille de papier ou ustensile de cuisine, on y regardait à deux fois. L’acte de jeter devenait une véritable cérémonie de funérailles de la matière. Venant du shintoïsme et du bouddhisme, cette notion est fortement ancrée dans la culture japonaise actuelle, même si on considère qu’elle s’est un peu effritée. L’influence de l’insularité a forgé cette culture en limitant l’accès aux ressources.

Selon un blog « Comment trier ses déchets au Japon », il est écrit « Simple, mais ça couvre déjà 90% des déchets qui sont produits par une famille. La façon dont les poubelles sont organisées est la même dans l’ensemble du pays car il y a des consignes de tri sur les emballages et ces consignes sont les mêmes du nord au sud. ». Un exemple à méditer ici, chez nous, en France comme dans Montpellier-Méditerranée-Métropole ! L’écoconception et l’organisation du tri sont devenus un art moderne.

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Le Lanceur d’alerte

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Maera : investissement excessif

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STATION D’EPURATION DE L’AGGLOMERATION DE MONTPELLIER « MAERA »

La station d’épuration « Maera » C’est le choix d’un investissement excessif de 150 millions d’euros. A ce coût il faut ajouter les frais des raccordements de chaque ville ainsi que l’eau nécessaire pour l’étiage du Lez (eau acheté au bas Rhône), un véritable gâchis. Une « Rolls Royce » qui lui permet de polluer « écologiquement » le Lez après de forts orages et la Méditerranée en permanence jusqu’à ce jour. Cliquez ce lien …/…

par Jacky Chanton (Lattes)

PS : ce devait être « la Rolls des stations d’épuration » !
Note du webmestre

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Encyclique « Laudato si »

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L’ODAM ne soutient aucun parti polique ni aucune religion mais nous ne pouvons rester indifférents au message d’une grande voix qui a pris la défense de l’Environnement, de notre maison commune.

La lettre Encyclique du Souverain Pontife François sur la sauvegarde de la maison commune, notre planète contient un message de défense de l’environnement auquel personne ne doit rester indifférent. Les pages 21 à 51 résument, hors de tout contexte religieux, le problème qui se pose aux générations futures, à nos enfants sur le problème des déchets et du changement climatique en relation avec la pollution. On sent sous la plume du Souverain Pontife le souci de l’écologie et les gens compétents qui ont été ses conseillers. La pollution qui rend les gens malades, le réchauffement du climat, la question de l’eau, la perte de la biodiversité, la détérioration de la qualité de la vie humaine, la dégradation sociale, l’inégalité planétaire et surtour, la faiblesse des réactions et la diversité d’opinions.

Le livre entier traite d’écologie. Le chapitre 6 traite de l’éducation et de la spiritualité écologiques :

  • miser sur un autre style de vie,
  • alliance entre l’humanité et l’environnement,
  • conversion écologique,
  • joie et paix
  • etc.

Ce livre est à poser sur la table de chevet de toute personne qui se veut responsable de l’avenir de notre planète.

Raymond GIMILIO
Docteur en Biologie végétale mention « Ecologie »
Ingénieur de recherches du CNRS
Chevalier du Mérite agricole

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Le Lanceur d’alerte

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Bilan calamiteux de la nouvelle collecte des déchets

Le père Noël serait-il une ordure ?

On n’en veut pas ?

Le père Noël est une ordure est un film français réalisé par Jean-Marie Poiré et sorti au cinéma le 25 août 1982. Le relais serait-il pris par le Président de Montpellier-Méditerranée-Métropole qui, selon le quotidien « Midi Libre » du jeudi 7 janvier 2016 (page 3) affirme  être « un peu comme le Père Noël ». Un peu au-dessus, dans un bel article de ¾ de page, une autre vedette de MMM s’exprime sur le sujet des « ordures » (déchets). D’où le rapprochement. M. Philippe Saurel, Président de MMM, est le patron sous l’autorité duquel s’exprime son second avec assurance et autorité ! « Déchets : le changement, c’est vraiment maintenant » Et quel changement ! Comme le fait remarquer François Vasquez dans sa réponse (« Déchets : la collecte de la discorde » Midi Libre du samedi 9 janvier 2016), « C’est marginal. Et l’emmerdement est maximal ». Oui, nous avons constaté que ce changement, mal annoncé, mal préparé, mal vécu, a apporté une pagaille monstre dans nos rues. Pourquoi ce cocorico qui veut nous faire croire qu’il suffit de diminuer la fréquence des collectes pour obliger les gens à bien trie leurs déchets ? C’est se moquer du monde. Monsieur Meunier pense qu’en restreignant le service il va améliorer le tri des déchets ! Comme dans ce conte enfantin où un enfant enlevait chaque jour un peu d’eau dans l’aquarium de son poisson pour lui apprendre à vivre dans l’air ! On ramasse moins souvent la poubelle grise dans les quartiers « pavillonnaires » et on va améliorer le tri ?

UBU est roi, d’autant que la véritable source de déchets non-triés de la poubelle grise ne provient pas des quartiers pavillonnaires qui, eux, ont des habitants qui savent trier ! La véritable source qui alimente l’usine de tri-mécanobiologique « Amétyst » est constituée par les grands ensembles de Montpellier (Lemasson, Petit-Bard, Mosson-La Paillade, …) et autre logements sociaux où on a abandonné les habitants à leur sort (ils sont sales, ils ne savent pas trier dit-on en guise d’excuses). C’est là qu’est le gisement qui alimente la poubelle grise, c’est là, Monsieur Meunier, qu’il faut mettre en place, d’urgence, un « Plan Marshall » d’aide, de conseil et d’assistance pour faire diminuer le volume des poubelles grises ! Là, pas ailleurs ! Les actions menées par le gouvernement dans le cadre de la politique de la ville du Gouvernement, les propositions de Madame Ségolène Royal sur le « zéro déchet zéro gaspillage », c’est maintenant, c’est là qu’il faut agir d’urgence. Nous vous le disons, à vous qui conseillez si mal votre « Père Noël » : où vous êtes incompétent et mal conseillé ou vous êtes un Pinocchio avec un nez qui s’allonge ! Le Pinocchio des ordures ? Chiche que vous allez changer vraiment de politique ! Et très prochainement.




Qu’est-ce que le tri à la source ?

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Qu’est-ce que le tri à la source ?

Réponse : le tri à la source est défini à l’article D. 543-279 du code de l’environnement, comme « l’ensemble des opérations réalisées sur des déchets qui permettent de séparer ces déchets des autres déchets et de les conserver séparément, par catégories, en fonction de leur type et de leur nature » ; il s’agit de toute forme de tri réalisé au plus près de la production de déchet, par le producteur initial, en vue d’une collecte séparée ou d’un traitement spécifique sur place. Le compostage de proximité, les collectes en porte en porte ou les points d’apport volontaire sont une forme de tri à la source. Le tri à la source des biodéchets en vue d’une valorisation organique est une obligation pour tous les professionnels qui produisent ou détiennent plus de 10 tonnes de déchets composés majoritairement de biodéchets par an. Ce tri à la source doit être généralisé d’ici 2025 à tous les producteurs de biodéchets, entreprises comme ménages, quelle que soit la quantité de biodéchets générée.

D’après

Questions/réponses sur les mélanges de biodéchets

Décembre 2017

Direction Générale de la Prévention des risques

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Le webmaster

Raymond  GIMILIO

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Qu’est-ce qu’un biodéchet

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 Qu’est-ce qu’un biodéchet ?

Réponse : l’article R. 541-8 du code de l’environnement définit un biodéchet comme : « tout déchet non dangereux biodégradable de jardin ou de parc, tout déchet non dangereux alimentaire ou de cuisine issu notamment des ménages, des restaurants, des traiteurs ou des magasins de vente au détail, ainsi que tout déchet comparable provenant des établissements de production ou de transformation de denrées alimentaires » ; cette définition intègre principalement les déchets alimentaires et les déchets verts, qu’ils soient produits par les ménages ou les professionnels.

D’après :

Questions/réponses sur les mélanges de biodéchets

Décembre 2017

Direction Générale de la Prévention des risques
Ministère en charge de l’Environnement 

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Le webmaster

Raymond  GIMILIO

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Le Tri Mécano-Biologique (TMB)

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 Le TMB est l’acronyme d’une technique industrielle appelée « Traitement mécano-biologique » ou « Tri mécano-biologique » et présentée comme une solution « miracle » aux décideurs des collectivités locales qui ne savent pas comment régler le problème des ordures ménagères de leurs communes, agglomérations, métropoles, … Présenté à tort comme écologique, le TMB est un processus industriel utilisant un phénomène naturel : la fermentation anaérobie des matières organiques.

Selon une fiche technique de l’ADEME (Agence pour le Développement de la Maîtrise de l’Energie), le TMB vise cinq objectifs :

  1. Sur la fraction à haut-pouvoir calorifique (HPCI) des déchets, produire de l’énergie sous forme de CSR (combustible solide de récupèration).
  2. Sur la fraction fermentescible des déchets, produire de l’énergie sous forme de biogaz (composé essentiellement de méthane, fabriquer du compost, réduire et stabiliser les déchets avant leur mise en décharge.
  3. Sur l’ensemble des déchets, recycler des matériaux (métaux, plastiques, papier-cartons).

Le TMB est en fort développement en France et il ne peut fonctionner seul, il a besoin :

  • d’un ensemble de méthaniseurs où fermente un digestat hétérogène pour recueillir e biogaz,
  • d’un exutoire (décharge) baptisée « Installation de Stockage de Déchets Non-Dangereux (ISDND) »,
  • d’un incinérateur pour pouvoir éliminer les déchets qu’il ne peut traiter (10% du gisement de déchets) ou les refus du tri (40 à 60% du gisement de déchets.

L’ADEME appelle les collectivités à la prudence. Le stabilisat produit n’est pas complètement méthanisé et continue à fermenter dans l’exutoire où il est transporté. Il émet encore un fort pourcentage de gaz à effet de serre agissant sur le climat. L’ISDND sent mauvais (« il pue ») et présente de très forts risques d’incendie.

Le compost produit par une usine de TMB est impropre à l’utilisation agricole. Nous estimons que :

  1. Le compost issu d’OMR traitées par TMB est fifficle à mettre en conformité avec la norme NFU44-051, norme pourtant très permissive.
  2. Le recyclage des papiers-cartons ayant été en contact avec la fraction fermentescible est paratiquement impossible du fait de la souillure subie.
  3. La collecte sélective des bio-déchets (fraction fermentescible) est la seule solution civique, citoyenne, écologique, la méthanisation de ces bio-déchets ne nécessite qu’un tri amont de sécurité, la qualité du brassage du digestat est plus aisée. Le coût du traitement reste élevé.

Tout ceci est réuni en un tryptique vicieux dans la métropole de Montpellier (ex agglo) :

  1. l’usine de méthanisation « Amétyst » (Montpellier-Garosud).
  2. l’incinérateur « OCREAL » de Lunel-Viel.
  3. l’exutoire-décharge-ISDND de Castries-Carrière GSM.

Raymond Gimilio
Docteur en sciences biologiques option Écologie
Président de l’ODAM

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Le président

Raymond  GIMILIO

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