Encyclique « Laudato si »

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Info

L’ODAM ne soutient aucun parti polique ni aucune religion mais nous ne pouvons rester indifférents au message d’une grande voix qui a pris la défense de l’Environnement, de notre maison commune.

La lettre Encyclique du Souverain Pontife François sur la sauvegarde de la maison commune, notre planète contient un message de défense de l’environnement auquel personne ne doit rester indifférent. Les pages 21 à 51 résument, hors de tout contexte religieux, le problème qui se pose aux générations futures, à nos enfants sur le problème des déchets et du changement climatique en relation avec la pollution. On sent sous la plume du Souverain Pontife le souci de l’écologie et les gens compétents qui ont été ses conseillers. La pollution qui rend les gens malades, le réchauffement du climat, la question de l’eau, la perte de la biodiversité, la détérioration de la qualité de la vie humaine, la dégradation sociale, l’inégalité planétaire et surtour, la faiblesse des réactions et la diversité d’opinions.

Le livre entier traite d’écologie. Le chapitre 6 traite de l’éducation et de la spiritualité écologiques :

  • miser sur un autre style de vie,
  • alliance entre l’humanité et l’environnement,
  • conversion écologique,
  • joie et paix
  • etc.

Ce livre est à poser sur la table de chevet de toute personne qui se veut responsable de l’avenir de notre planète.

Raymond GIMILIO
Docteur en Biologie végétale mention « Ecologie »
Ingénieur de recherches du CNRS
Chevalier du Mérite agricole

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Le Lanceur d’alerte

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Bilan calamiteux de la nouvelle collecte des déchets

Le père Noël serait-il une ordure ?

On n’en veut pas ?

Le père Noël est une ordure est un film français réalisé par Jean-Marie Poiré et sorti au cinéma le 25 août 1982. Le relais serait-il pris par le Président de Montpellier-Méditerranée-Métropole qui, selon le quotidien « Midi Libre » du jeudi 7 janvier 2016 (page 3) affirme  être « un peu comme le Père Noël ». Un peu au-dessus, dans un bel article de ¾ de page, une autre vedette de MMM s’exprime sur le sujet des « ordures » (déchets). D’où le rapprochement. M. Philippe Saurel, Président de MMM, est le patron sous l’autorité duquel s’exprime son second avec assurance et autorité ! « Déchets : le changement, c’est vraiment maintenant » Et quel changement ! Comme le fait remarquer François Vasquez dans sa réponse (« Déchets : la collecte de la discorde » Midi Libre du samedi 9 janvier 2016), « C’est marginal. Et l’emmerdement est maximal ». Oui, nous avons constaté que ce changement, mal annoncé, mal préparé, mal vécu, a apporté une pagaille monstre dans nos rues. Pourquoi ce cocorico qui veut nous faire croire qu’il suffit de diminuer la fréquence des collectes pour obliger les gens à bien trie leurs déchets ? C’est se moquer du monde. Monsieur Meunier pense qu’en restreignant le service il va améliorer le tri des déchets ! Comme dans ce conte enfantin où un enfant enlevait chaque jour un peu d’eau dans l’aquarium de son poisson pour lui apprendre à vivre dans l’air ! On ramasse moins souvent la poubelle grise dans les quartiers « pavillonnaires » et on va améliorer le tri ?

UBU est roi, d’autant que la véritable source de déchets non-triés de la poubelle grise ne provient pas des quartiers pavillonnaires qui, eux, ont des habitants qui savent trier ! La véritable source qui alimente l’usine de tri-mécanobiologique « Amétyst » est constituée par les grands ensembles de Montpellier (Lemasson, Petit-Bard, Mosson-La Paillade, …) et autre logements sociaux où on a abandonné les habitants à leur sort (ils sont sales, ils ne savent pas trier dit-on en guise d’excuses). C’est là qu’est le gisement qui alimente la poubelle grise, c’est là, Monsieur Meunier, qu’il faut mettre en place, d’urgence, un « Plan Marshall » d’aide, de conseil et d’assistance pour faire diminuer le volume des poubelles grises ! Là, pas ailleurs ! Les actions menées par le gouvernement dans le cadre de la politique de la ville du Gouvernement, les propositions de Madame Ségolène Royal sur le « zéro déchet zéro gaspillage », c’est maintenant, c’est là qu’il faut agir d’urgence. Nous vous le disons, à vous qui conseillez si mal votre « Père Noël » : où vous êtes incompétent et mal conseillé ou vous êtes un Pinocchio avec un nez qui s’allonge ! Le Pinocchio des ordures ? Chiche que vous allez changer vraiment de politique ! Et très prochainement.




Qu’est-ce que le tri à la source ?

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Qu’est-ce que le tri à la source ?

Réponse : le tri à la source est défini à l’article D. 543-279 du code de l’environnement, comme « l’ensemble des opérations réalisées sur des déchets qui permettent de séparer ces déchets des autres déchets et de les conserver séparément, par catégories, en fonction de leur type et de leur nature » ; il s’agit de toute forme de tri réalisé au plus près de la production de déchet, par le producteur initial, en vue d’une collecte séparée ou d’un traitement spécifique sur place. Le compostage de proximité, les collectes en porte en porte ou les points d’apport volontaire sont une forme de tri à la source. Le tri à la source des biodéchets en vue d’une valorisation organique est une obligation pour tous les professionnels qui produisent ou détiennent plus de 10 tonnes de déchets composés majoritairement de biodéchets par an. Ce tri à la source doit être généralisé d’ici 2025 à tous les producteurs de biodéchets, entreprises comme ménages, quelle que soit la quantité de biodéchets générée.

D’après

Questions/réponses sur les mélanges de biodéchets

Décembre 2017

Direction Générale de la Prévention des risques

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Le webmaster

Raymond  GIMILIO

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Qu’est-ce qu’un biodéchet

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 Qu’est-ce qu’un biodéchet ?

Réponse : l’article R. 541-8 du code de l’environnement définit un biodéchet comme : « tout déchet non dangereux biodégradable de jardin ou de parc, tout déchet non dangereux alimentaire ou de cuisine issu notamment des ménages, des restaurants, des traiteurs ou des magasins de vente au détail, ainsi que tout déchet comparable provenant des établissements de production ou de transformation de denrées alimentaires » ; cette définition intègre principalement les déchets alimentaires et les déchets verts, qu’ils soient produits par les ménages ou les professionnels.

D’après :

Questions/réponses sur les mélanges de biodéchets

Décembre 2017

Direction Générale de la Prévention des risques
Ministère en charge de l’Environnement 

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Le webmaster

Raymond  GIMILIO

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Le Tri Mécano-Biologique (TMB)

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 Le TMB est l’acronyme d’une technique industrielle appelée « Traitement mécano-biologique » ou « Tri mécano-biologique » et présentée comme une solution « miracle » aux décideurs des collectivités locales qui ne savent pas comment régler le problème des ordures ménagères de leurs communes, agglomérations, métropoles, … Présenté à tort comme écologique, le TMB est un processus industriel utilisant un phénomène naturel : la fermentation anaérobie des matières organiques.

Selon une fiche technique de l’ADEME (Agence pour le Développement de la Maîtrise de l’Energie), le TMB vise cinq objectifs :

  1. Sur la fraction à haut-pouvoir calorifique (HPCI) des déchets, produire de l’énergie sous forme de CSR (combustible solide de récupèration).
  2. Sur la fraction fermentescible des déchets, produire de l’énergie sous forme de biogaz (composé essentiellement de méthane, fabriquer du compost, réduire et stabiliser les déchets avant leur mise en décharge.
  3. Sur l’ensemble des déchets, recycler des matériaux (métaux, plastiques, papier-cartons).

Le TMB est en fort développement en France et il ne peut fonctionner seul, il a besoin :

  • d’un ensemble de méthaniseurs où fermente un digestat hétérogène pour recueillir e biogaz,
  • d’un exutoire (décharge) baptisée « Installation de Stockage de Déchets Non-Dangereux (ISDND) »,
  • d’un incinérateur pour pouvoir éliminer les déchets qu’il ne peut traiter (10% du gisement de déchets) ou les refus du tri (40 à 60% du gisement de déchets.

L’ADEME appelle les collectivités à la prudence. Le stabilisat produit n’est pas complètement méthanisé et continue à fermenter dans l’exutoire où il est transporté. Il émet encore un fort pourcentage de gaz à effet de serre agissant sur le climat. L’ISDND sent mauvais (« il pue ») et présente de très forts risques d’incendie.

Le compost produit par une usine de TMB est impropre à l’utilisation agricole. Nous estimons que :

  1. Le compost issu d’OMR traitées par TMB est fifficle à mettre en conformité avec la norme NFU44-051, norme pourtant très permissive.
  2. Le recyclage des papiers-cartons ayant été en contact avec la fraction fermentescible est paratiquement impossible du fait de la souillure subie.
  3. La collecte sélective des bio-déchets (fraction fermentescible) est la seule solution civique, citoyenne, écologique, la méthanisation de ces bio-déchets ne nécessite qu’un tri amont de sécurité, la qualité du brassage du digestat est plus aisée. Le coût du traitement reste élevé.

Tout ceci est réuni en un tryptique vicieux dans la métropole de Montpellier (ex agglo) :

  1. l’usine de méthanisation « Amétyst » (Montpellier-Garosud).
  2. l’incinérateur « OCREAL » de Lunel-Viel.
  3. l’exutoire-décharge-ISDND de Castries-Carrière GSM.

Raymond Gimilio
Docteur en sciences biologiques option Écologie
Président de l’ODAM

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Le président

Raymond  GIMILIO

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Fabrègues : comment en est-on venus là ?

Info

Comment sur ce site où cette commune avait fermé toutes ses décharges sauvages en est-on venu à vouloir implanter la 2e décharge (CSDU) de Montpellier-Agglomération et à lancer maintenant une étude pour remplacer un CSDU par une Torche à plasma ?

Lors du lancement des études de l’usine de méthanisation, il avait été prévu des sites d’enfouissement de déchets ultimes, des CSDU (Centres de Stockage de Déchets Ultimes). Une enquête avait été confiée, à la demande du Préfet de l’époque, pour localiser sur le territoire de l’Agglomération au moins trois sites présentant un certain nombre de caractéristiques géologiques et hydrologiques pour recevoir les déchets ultimes de l’usine de méthanisation. Trois sites avaient été retenus après l’étude confiée à ANTEA. La commune de Teyran ayant réussi à quitter l’Agglo, il en restait deux, dont celui de Castries qui est en cours d’amènagement[1].

La société SITA, à la recherche d’un site pour installer une méga-décharge, après son échec au Tanarés, est parvenue à dénicher un domaine qui était mis en vente au pied du massif de la Gardiole, à l’est du village de Fabrègues. Jamais ce site n’avait été retenu par les études ANTEA. Cette initiative privée a été convertie en un projet d’intérêt général par le Préfet sur proposition de l’Agglo qui, du coup, trouvait là une mauvaise solution technique contre laquelle se sont dressés en masse la majorité des habitants du village de Fabrègues et de ses environs et les élus de la commune.

Actuellement, un jugement du Tribunal Administratif de Montpellier est en délibéré et devrait être rendu mi-octobre. Lors de sa dernière séance, le Commissaire du gouvernement a requis l’annulation de l’arrêté préfectoral d’intérêt général au motif que celui-ci aurait dû faire suite à un vote du Conseil d’Agglo et non sur une simple lettre du Président de la dite communauté.

A suivre …

Donnez votre avis : Fabrègues doit-il devenir la poubelle de l’ouest du département et accueillir les déchets ménagers et les déchets industriels banaux, en sus des déchets ultimes de l’Agglo ? Si on triait correctement à Montpellier, il ne devrait y avoir plus rien à enfouir en CSDU et à Fabrègues en particulier. Quant aux autres déchets, chacun les siens, chez soi ! Oui ou non à la Torche à Plasma ?

Le problème s’est réglé après le décès de M. Georges Frèche le 24 octobre 2010. Son successeur à la tête de l’Agglo, M. Jean-Pierre Moure (Maire de Cournonsec) élu le 2 décembre 2010 a fini par cèder à la pression des Gardiens de la Gardiole (prudence en vue des prochaines élections municipales : il est candidat à la mairie de Montpellier). Le PIG a été suspendu (info du 10/12/2010) et SITA a remballé son projet de décharge-méthanisation.

Ce projet n’étant que « suspendu », rien n’empêcherait un futur président de Montpellier-Agglomération ou de Montpellier-Métropole à ressortir le lapin de son chapeau ? A suivre.


[1] Le site est situé dans la carrière GSM de Castries, en limite de l’Agglo. Un premier casier ayant été rempli, une autorisation a été demandée pour en ouvrir un 2e.

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Le président

Raymond  GIMILIO

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L’Atlas des Garrigues

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Le travail remarquable des Ecologistes de l’Euzière, dont la couverture figure en réduction en tête de cet article, devrait avoir été lu par tous les décideurs des collectivités territoriales et par les représentants de l’Etat dans cette région. Il comporte un chapitre remarquable sur l’eau, chapitre intitulé « L’eau : une ressource, un risque » (pages 42 à 65). Je me permets de leur emprunter une reproduction réduite de leur couverture et de recommander vivement à nos lecteurs son achat. C’est une encyclopédie des garrigues, de notre environnement terrestre, un territoire qui s’étend entre le littoral et le pied des massifs montagneux qui bordent notre mer Méditerranée, entre la vallée de l’Hérault et les gorges de la Cèze.

« L’eau ici ? c’est soit il n’y en pas, soit il y en a trop … notre petit ruisseau, le Crieulon, il n’a pas débordé ces jours ci mais il était ras, ras, ras ; il a débordé en 2002 … ça vient jusqu’en bas […] … tout était inondé, c’est rare quand même.  » Une nîmoise, chevrière depuis 20 ans en garrigue nîmoise.

Si vous voulez en savoir plus, achetez ce livre, les photographies, les cartes, les tableaux comparés de précipitations, tout est irréfutable ! Vous saurez ce qu’est un Schéme d’Aménagement et de Gestion des Eaux (SAGE) !

J’ai l’honneur d’avoir été digne de porter le titre de Docteur en biologie végétale de ‘Université des Sciences et techniques du Languedoc le 21 juin 1971, avec l’option « Ecologie », d’avoir servi  (17 ans) auprès de plusieurs Ministres de l’Environnement à Paris et d’avoir été décoré par Monsieur le Préfet de région, Préfet de l’Hérault comme chevalier du Mérite agricole. Je m’exprime comme tel, capable de juger un risque naturel, ma thèse ayant porté sur l’étude climatique de l’Ardèche cévenole en relation avec le climat. Le climat méditerranéen, je connais ! Les garrigues aussi, j’ai fait partie en septembre 1969 d’une équipe CNRS-Université chargée de la cartographie de la végétation pour l’Atlas du Languedoc-Roussillon. Oléiculteur à ma retraite, j’ai eu le grand honneur d’être élevé à la dignité de Majoral des Chevaliers de l’Oliver du Languedoc-Roussillon.

Raymond GIMILIO
 Docteur en Biologie végétale mention Ecologie
Ingénieur de recherches du CNRS
Chevalier du Mérite agricole

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Ce que dit le Président de MMM

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 La doctrine officielle, c’est beau, c’est sublime : il faut changer nos habitudes, éviter le gaspillage alimentaire. C’est clair et pédagogique : y’a qu’a, faut qu’on. Pour nos générations futures. Cliquez sur ce lien pour lire ce que M. Moure nous dit …/…

Et l’usine qui doit traiter, est-ce qu’elle fonctionne ? Voyez la question correspondante.

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Le président

Raymond  GIMILIO

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Quel impact pour les prestataires de transport et de collecte de biodéchets ?

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Réponse : si un tri des biodéchets emballés d’une part, et des biodéchets non emballés d’autre part, est réalisé par les producteurs initiaux, les lots de biodéchets emballés et non emballés doivent faire l’objet d’une collecte séparée puis d’un transport et d’un entreposage séparés. En effet, certains producteurs, notamment au sein de la distribution alimentaire, font d’ores et déjà un tri entre biodéchets emballés et non emballés, parfois pour un avantage économique, et d’autres acteurs (restauration, marchés, certaines industries agro-alimentaires) ne produisent que (ou une immense majorité) des biodéchets non emballés.

Selon :

Questions/réponses sur les mélanges de biodéchets

 Décembre 2017

Direction Générale de la Prévention des Risques

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La brochure à se procurer

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La brochure à se procurer

La brochure diffusée par Montpellier-Agglomération : Réduire et valoriser nos déchets : le guide pratique. Le meilleur déchet est celui que l’on ne produit pas. Cliquez sur ce lien pour voir la couverture …/…
Prenez Montpellier-Métropole à la lettre.
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Le webmaster

Raymond  GIMILIO

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