Le plan régional de Prévention et de Gestion des Déchets

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Info

Le Plan Régional de Prévention et de Gestion des Déchets (PRPGD) est un outil de planification globale pour la prévention des déchets et leur gestion. Ce sont les déchets produits sur le Territoire (région concernée, ici Occitanie / Midi-Pyrénées). Ces déchets sont ménagers ou issus d’activités économiques. Il a pour rôle de mettre en place les conditions d’atteinte des objectifs nationaux :

  • de réduction des déchets à la source (en priorité),
  • d’amélioration des taux de tri et de valorisation des déchets à la source (en second lieu).

Ce plan joue un rôle MAJEUR sur un certain nombre de piliers de l’Économie circulaire, replaçant la prévention au coeur du système de valeurs, et favorisant l’amélioration continue du recyclage et des valorisations matière et énergétique.

De plus, le plan doit comporter un « Plan régional d’action en faveur de l’économie circulaire ».

Une fiche « Intégration de l’économie circulaire dans la planification régionale » qui détaille le PRPGD.

Nous allons rajouter des commentaires sur cette fiche pour bien la faire entrer dans les nouveaux paradigmes. Ce plan avance, consultez les différentes phases sur le site de la Région.

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Le webmaster

Raymond  GIMILIO

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L’écocité : la ville du XXIe siècle (pp. 8-11)


Deux pages de MMMag sont consacrées à nous démontrer le concept d’écocité selon Montpellier-Méditerranée-Métropole (MMM). Nous revenons aux fondamentaux, selon le Ministère du Développement durable « L’enjeu des ÉcoCités est de soutenir la croissance et l’attractivité des villes, de les rendre plus respectueuses de leur milieu, moins consommatrices d’énergie ou d’espace périurbain, tout en répondant aux attentes de leurs habitants actuels et futurs. Plus globalement, la démarche s’inscrit dans la lutte contre l’artificialisation des sols, la pollution de l’air et le réchauffement climatique. ». Nous constatons que le concept de MMM consiste à abandonner le centre de notre ville, ce que dénoncent ses habitants, au profit de constructions neuves dont nous avons démontré qu’elles détruisent des terres agricole et qu’elles ont une empreinte carbone importante pour la consommation de ciment et d’acier. Le quartier de Port-Marianne en est l’illustration. Seul espace vert préservé et réhabilité, le parc Charpak.
Montpellier-Méditerranée-Métropole prétend attirer à l’horizon 2020 450.000 habitants soit 4.300 habitants supplémentaires par an et 50.000 logements sur 10 ans ! Une démographie artificiellement entretenue à coup d’annonces vantant le soleil du sud de la France. Des cages à lapins habillées de verre et d’aluminium, clinquantes, desservies par le tramway ligne 3. Malgré les lignes de tram, l’augmentation de la population se traduit par celle de la circulation automobile et une circulation aux heures de pointe qui étouffe la ville et dégage des gaz à effet de serre ! Car si le centre ville se meurt, les nouveaux quartier de Montpellier, Castelnau, Pérols et Lattes n’ont comme seule limitations de circulation automobile que celles des furieux bouchons qui s’y créent ! On est loin du tableau idyllique et la soi-disant avenue Georges Frèche est d’accès difficile à partir du rond-point dit « des drapeaux » qu’on nous présente avec un tram multicolore prenant un virage au milieu d’une pelouse un peu mitée !
Des grands mots sont employé page 9 : « transports doux », « nouvelles centralités urbaines denses », « réinvestissement des espaces monofonctionnels », « urbanisation plus dense et mixte », « objectifs de performance et d’innovation énergétique particulièrement élevés » « luttant contre l’effet d’ »ilôt de chaleur urbain » ». Tout un jargon pseudo-technique et une langue de bois pour justifier le concept de feu Georges Frèche de marche vers la mer « en roussigant tous les petits villages » et obtenir « une ville durablement solidaire ». Tout ce jargon, comme le dit la sagesse populaire, ce sont des paroles, des « mots d’air ». La cerise sur le gâteau : « Ode à la mer : c’est parti » ! On va ravager 250 hectares qui étaient là, le long de la route à la mer qui traverse Lattes et Pérols, avec la ligne 3 du tramway. Le centre commercial est « qualifié de vieillissant » (Ode acte 1), « un territoire abimé ». Encore du béton neuf sur les emplacements du Solis, du Soriech et Fenouillet : un parc sportif, avec des commerces en « contrebas » (futurs sinistrés par les inondations, nous sommes proches de la mer qui va monter !), « des quartiers mixtes (bureaux, commerces, logements, logements) et des espaces naturels servant de bassins de rétention pour prévenir les inondations. » On est bien là dans un délire de bétonneur qui ne tient pas compte de ce qui nous attend : des immeubles sur pilotis, une future Venise ? Car page 7, non nous annonce que la mer va monter, aidée par les « Gaz à effet de serre » générés par les cimenteries, les acièries et les moteurs des bulldozers-scrapers géants qui vont continuer à éventrer nos terres inondables : les futurs « polders » de chez nous. Le délire des écoquartiers se poursuit aux pages 10 et 11. Cela se poursuit en nous expliquant page 12 « Inondations : la mise hors d’eau de la Métropole ». On nous annonce qu’on va vers « une réduction significative des inondations. »

Nous sommes des pauvres qui payons des impôts de riches, nous dit notre Secrétaire Jacky Chanton.

Lecteurs, réagissez, donnez votre avis : il nous intéresse. Nous garantissons votre anonymat, vous pouvez utiliser un pseudonyme. Voyez ci-dessous pour imprimer une fiche mise en page et un espace pour donner votre avis.
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Le président

Raymond  GIMILIO

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CIDES34 : lettre au préfet

Cour des comptes

Nous soutenons la Cour des Comptes

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A la suite de la publication du rapport de la Cour des Comptes concernant Amétyst, le CIDES-34 s’adresse à Monsieur le Préfet de l’Hérault pour lui demander une audience. La lettre a été envoyée le 15 février 2017 en lettre recommandée avec accusé de réception.

Le 14 février 2017, l’ODAM a adressé à Monsieur le Premier Président de la Cour des Comptes un mémoire intitulé «Sur le rapport 2017 de la Cour des Comptes concernant l’usine de traitement des déchets de Montpellier : Amétyst (TMB-méthanisation)».

Quel rapport entre ces deux correspondances ? Simplement remercier la Cour des Comptes de son excellent travail et rappeler à Monsieur le Préfet qu’il représente l’Etat et q’il doit exercer sa mission de contrôle de légalité des actes des collectivités et de sanction «à posteriori».

A ce jour, 14 mai 2017, aucune réponse du Préfet. Manifestement, le rapport de la Cour des Comptes le laisserait-il indifférent ? La gabegie des fonds publics restera-t-elle sans suite ?

Pourtant, le Préfet a le pouvoir de saisir les juridictions compétentes, notamment le Parquet près la Cour des Comptes. Le Procureur Général existe bien, le site montre le plan et commente l’agencement des locaux.

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Le président

Raymond  GIMILIO

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MMM : une métropole pourquoi faire ?

Une métropole, pourquoi faire ?

Pour le moment, le territoire n’a pas bougé, l’usine de traitement des déchets par tri mécano-biologique ne semble pas avoir amélioré ses performances mais, nous, contribuables de Montpellier-Méditerranée-Métropole allons continuer à payer le prix fort ! Pour continuer à n’avoir aucune réponse des chantres de la démocratie de proximité qui refusent de s’expliquer quand une association citoyenne s’adresse à eux pour demander des explications sur la gabegie qui va continuer avec le vote de la Délégation de Service public (DSP) à l’exploitant qui a obtenu ce résultat remarquable : « améliorer le fonctionnement en mélangeant à la réception la collecte des biodéchets triés par la main des citoyens responsables ». Il est du devoir de la Métropole de développer le tri citoyen à la source, en recrutant et formant les ambassadeurs du tri.
Lisez notre actricle sur la Scandaleuse gestion des déchets.
Merci à tous ceux qui ont téléchargé notre nouveau bulletin d’adhésion et nous ont adressé leurs chèques de soutien. Nous ne percevons AUCUNE subvention de qui que ce soit !
Merci à tous ceux qui nous lisent.
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Le président

Raymond  GIMILIO

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1/09/2014 : rentrée de septembre

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Introduction : une interview

Il y a eu 10 ans, oui, dix années d’errements de Montpellier-Agglo forcée de fermer la décharge du Thôt sous la pression de nos associations réunies. 10 ans ou presque de dictature, de contre-vérités, d’atteintes à la démocratie la plus élémentaire, de négation de la sagesse populaire, de fiscalité locale débridée, pour aboutir à une usine de traitement d’ordures ménagères implantée dans un quartier maintenant habité, avec un voisinage qui se densifie (Les Grisettes et alentours). 10 ans pour aboutir à la construction d’une super-clinique montpelliéraine située à moins de 500 m au nord de l’usine (merci à Google Earth pour la localisation en vue satellite). L’usine pue et continue à puer malgré les améliorations. Il y a trois ans, M. Philippe Saurel avait déclaré qu’elle n’avait pas sa place là ! Le même M. Philippe Saurel, maire de Montpellier et Président de Montpellier Agglomération depuis avril dernier, déclarait le 8 septembre sur France Bleue Hérault (interview de Jean-Pierre Pluvy) : « Celà pourrait largement mieux marcher et Ametyst pour moi est une trop grosse usine pour pouvoir répondre aux objectifs que nous nous sommes fixés. »

Il évoque aussi les casiers de Castries :

« Il y en a deux, j’ai dit stop, il n’y en aura pas un 3e. Donc il faut revoir complètement … »

ODAM à votre service

L’ODAM est là pour dialoguer et expliquer que la seule solution, celle qui marche en Italie (oui, en Italie, à Milan), au Canada, en Suisse, en Allemagne, c’est le tri citoyen à la source et les parcs à ressources, une économie circulaire où il nous faut aboutir : Zéro déchets (Zero waste). Madame la Ministre de l’Ecologie, du Développement Durable et de l’Energie, Madame Ségolène Royal, a lancé le 1er août 2014 un appel à 20 territoires pour

« zéro gaspillage zéro déchet »
(cliquez le lien ci-dessus)

Pourquoi pas notre territoire, notre agglomération ? Nous avons saisi M. Saurel qui ne peut être partout, tout le temps. Le vice-Président délégué à toute cette thématique M. Cyril Meunier pourrait répondre pour lui et lui prêter main forte plus efficacement ? Il était là il y a 10 ans.

Nous avons saisi M. Saurel à propos du Plan départemental des déchets de l’Hérault et Mme la Ministre Ségolène Royal. Serons nous entendus ?

Alors, appliquons la démocratie de proximité, la démocratie participative. L’ODAM, avec votre soutien, pourra être votre délégué ? Il ne tient qu’à vous de venir fêter notre 10e anniversaire. Rejoignez ceux qui jour après jour viennent rejoindre l’ODAM et apporter leur cotisation.

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Le président

Raymond  GIMILIO

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31/03/2014 Une nouvelle équipe

Info

« Le temps des cathédrales, c’est fini » a déclaré M. Philippe Saurel, nouveau maire de Montpellier, sur une chaîne de télévision locale. « Montpellier sera gouverné autrement ». Nous en prenons acte.

Nous espérons que le temps des collectivités territoriales gouvernées par des autistes refusant toute concertation, c’est fini. Bienvenue à Monsieur Philippe Saurel qui semble amorcer une nouvelle ére d’écoute et de concertation. Pour notre part, nous serons des partenaires attentifs et prêts au dialogue. Il faut remettre à plat les problèmes d’environnement. Les intercommunalités, selon le Maire de Montpellier, doivent être des lieux de mise en commun, de mutualisation de moyens au bénéfice des communautés territoriales membres. Au moment où nous écrivons ces lignes, nous apprenons que l’Agglo ne serait pas gouvernée par la ville majoritaire, Montpellier (comme dans le passé). Un parti pour la ville, un autre à l’Agglo : des hommes et femmes différents ?. La concertation sera-t-elle au rendez-vous ? Qui va présider aux destinées de l’Agglo ?

Dans le cadre de la révision du Plan Départemental de Prévention et d’Elimination des Déchets Non Dangereux, la concertation doit jouer à plein. Nous avons dénoncé ici le fiasco de la filière de traitement des déchets (Ametyst et Carrière GSM-Castries), le mauvais fonctionnement de Maera (eaux usées) le foisonnement du béton. Nous attendons la remise à plat de tout le système de traitement des déchets, du plan de développement de la ville et de son agglomération, dans la concertation, l’esprit du Grenelle de l’Environnement ? Chiche, nous sommes partants. Le temps des documents à communication refusée, des recours systématiques et retardateurs à la CADA pour cacher des turpitudes est-il révolu ? Le temps de la transparence est-il venu ? Les nouveaux maires nous le diront.

Pour le moment, faisons confiance mais une confiance vigilante. Un carton vert à l’Agglo ? Pourquoi pas ?

En mars 2019, force est de constater que Monsieur Saurel a mangé son chapeau : il est retombé dans les travers de ses prédécesseurs. Il reçoit le Prix Pinocchio.

La Gare de la Mogère, la ZAC Cambacérès, … Que faut-il de plus ?

Le Jury du prix Pinocchio
Le Président

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Le président

Raymond  GIMILIO

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